Il était 1 h. du matin, le 25 avril 1974, quand une radio portugaise diffusa une chanson interdite de José Afonso: « Grandola Vila Morena ».
C’était le signal et le début de la Révolution des Oeillets, la fin du fascisme portugais.
Grândola, vila morena
Terra da fraternidade,
O povo é quem mais ordena
Dentro de ti, ó cidade
Grandola, ville brune,
Terre de la fraternité,
Le peuple est celui qui d'abord commande
A l'intérieur de toi, ô ville.
Terre de la fraternité,
Le peuple est celui qui d'abord commande
A l'intérieur de toi, ô ville.
Écoutez la musique sur : http://www.ihecs.be/liens/tangente/oeil/pages/dossier/chanson.html
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Le 3 octobre 2013.
Et maintenant, exprimez-vous, si vous le voulez.
Jean-Pierre Dacheux