Malgré l’échec commercial du Rafale, le fleuron de l’aéronautique militaire française, malgré un léger tassement en 2007, le commerce de l’armement se porte bien et la France se maintient sur la 4ème marche du podium des marchands d’armes.
Avec 6% de parts de marchés en 2006, loin derrière les Américains (54%), elle vient juste après le Royaume-Uni (13%) et la Russie (9,5%), mais elle est désormais talonnée par Israël (5,3%).
Pour 2008, le gouvernement visait les 6 milliards d’euros de commandes (contre 5,66 milliards en 2007), dans un marché dopé par les renouvellements de programmes d’armement, sur fond de course à l’innovation, souligne le Rapport au Parlement sur le commerce des armes.
Au-delà de leurs "bienfaits" sur la balance commerciale française, les exportations restent cruciales pour le maintien de l’industrie nationale d’armement. Selon le rapport, quelque 50.000 emplois seraient directement liés aux ventes d’armes françaises à l’étranger. Elles permettent également de maintenir, pour les armées françaises, un bon niveau d’équipement… à moindre coût.
Un rapport de l’Union européenne indique que la France figure à la première place européenne des pays exportateurs d’armes vers Israël. Cela figure aussi dans le compte rendu des débats du Parlement français où une question posée le 26 février 2008 par le députée Jean-Jacques Candelier au gouvernement.
La France a émis 6 605 autorisations d’exportation d’armement en 2007, dont 112 à destination d’Israël. Ces autorisations d’exportation d’armement représentent, selon le Ministère français de la Défense, un montant de 126 millions d’euros (sur un montant total de 200 millions d’euros d’armes exportées par différents pays de l’Union européenne vers Israël en 2007), ce qui fait de la France le plus gros fournisseur européen d’armement en Israël...
Avec 6% de parts de marchés en 2006, loin derrière les Américains (54%), elle vient juste après le Royaume-Uni (13%) et la Russie (9,5%), mais elle est désormais talonnée par Israël (5,3%).
Pour 2008, le gouvernement visait les 6 milliards d’euros de commandes (contre 5,66 milliards en 2007), dans un marché dopé par les renouvellements de programmes d’armement, sur fond de course à l’innovation, souligne le Rapport au Parlement sur le commerce des armes.
Au-delà de leurs "bienfaits" sur la balance commerciale française, les exportations restent cruciales pour le maintien de l’industrie nationale d’armement. Selon le rapport, quelque 50.000 emplois seraient directement liés aux ventes d’armes françaises à l’étranger. Elles permettent également de maintenir, pour les armées françaises, un bon niveau d’équipement… à moindre coût.
Un rapport de l’Union européenne indique que la France figure à la première place européenne des pays exportateurs d’armes vers Israël. Cela figure aussi dans le compte rendu des débats du Parlement français où une question posée le 26 février 2008 par le députée Jean-Jacques Candelier au gouvernement.
La France a émis 6 605 autorisations d’exportation d’armement en 2007, dont 112 à destination d’Israël. Ces autorisations d’exportation d’armement représentent, selon le Ministère français de la Défense, un montant de 126 millions d’euros (sur un montant total de 200 millions d’euros d’armes exportées par différents pays de l’Union européenne vers Israël en 2007), ce qui fait de la France le plus gros fournisseur européen d’armement en Israël...
Sources à consulter :
http://www.israelvalley.com/
http://inventerre.canalblog.
http://www.ambafrance-il.org/
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Le 3 octobre 2013.
Et maintenant, exprimez-vous, si vous le voulez.
Jean-Pierre Dacheux