C'est à n'y rien comprendre... On n'insiste guère sur les risques de développement futur d'une pandémie liée aux mutations d'un virus qui n'a pas encore muté mais qui pourrait, un jour, muter! On se contente de la peur pour obtenir, sur le champ, le consentement à la vaccination!
Le monde entier est donc en pleine révolution grippale... L'OMS surveille, s'inquiète, incite. On vaccine à tour de seringues. Certains pays vivent dans l'affolement. Depuis des semaines déjà, en Ukraine, les habitants paniquaient. Allah aidant, la grippe n'est guère passée par la Mecque mais, en France, après le doute, les Français se pressent enfin dans les centres de vaccinations. Bref, l'information, matraquée, a fini par convaincre qu'il fallait se protéger contre un danger de mort qui pouvait se manifester n'importe où, et n'importe quand.
Les arguments les plus solides n'ont pas résisté à la déferlante vaccinale.
La grippe dite "ordinaire", annuelle, est-elle beaucoup plus tueuse que celle qui est sortie des usines à viande porcine mexicaines? Peu importe. On vaccine bien pour l'une, et depuis longtemps. On vaccinera aussi pour l'autre, en distribuant, en plus, l'angoisse.
Y a-t-il, sur Terre, actuellement, des maladies beaucoup plus redoutables, à commencer par le paludisme, qui exigeraient des recherches coûteuses et urgentes, pour tenter de sauver des centaines de milliers de vies humaines? Oui, certes, mais on préfère engloutir des crédits immenses pour faire face à cette grippe qui tue, mais qui ne tue "que" quelques milliers de personnes, si l'on dénombre toutes les victimes, pays par pays...
Y-a-il des inconvénients graves à ajouter des adjuvants qui peuvent entrainer des réactions fâcheuses chez les vaccinés? Eh bien, il y aura des vaccins sans adjuvants pour les femmes enceintes. En outre, la preuve du lien entre les troubles et les vaccins ne pouvant, en si peu de temps, être scientifiquement établie, on n'appliquera le principe de précaution que dans un seul sens : il y aurait, parait-il, plus de risques à ne pas vacciner qu'à vacciner.
Y a-t-il eu des "réactions allergiques graves" au Canada, liées à l'administration du vaccin? C'est la faute d'un lot anglais qui n'est pas utilisé en France, allègue Roselyne Bachelot, la ministre de la santé, ci-devant pharmacienne. Depuis des siècles qu'on nous explique qu'il faut se méfier des Anglais, on va bien finir par le croire...
Exemple sans pareil : une fillette, décédée à Nice, dit-on, "de la grippe A", était atteinte par "un asthme modéré" qui ne "saurait expliquer la cause du décès". S'il est inexpliqué, le décès n'est pas davantage lié à la grippe A, mais peu importe, Europe 1 et Nice-Matin omettent de souligner que l'enfant avait déjà été "hospitalisée, l'an passé, pour insuffisance respiratoire à la suite d'une grippe banale"... Je me rappellerai longtemps de ce 26 novembre où, à partir d'un seul cas, on a voulu démontrer "l'impérieuse nécessité de se faire vacciner" (sic), alors que ce même exemple pouvait prouver que, sous l'effet d'une grippe, A ou banale, et même sans grippe, on pouvait mourir d'une insuffisance respiratoire causée par l'asthme. Sans doute l'avions-nous oublié?
Le monde entier est donc en pleine révolution grippale... L'OMS surveille, s'inquiète, incite. On vaccine à tour de seringues. Certains pays vivent dans l'affolement. Depuis des semaines déjà, en Ukraine, les habitants paniquaient. Allah aidant, la grippe n'est guère passée par la Mecque mais, en France, après le doute, les Français se pressent enfin dans les centres de vaccinations. Bref, l'information, matraquée, a fini par convaincre qu'il fallait se protéger contre un danger de mort qui pouvait se manifester n'importe où, et n'importe quand.
Les arguments les plus solides n'ont pas résisté à la déferlante vaccinale.
La grippe dite "ordinaire", annuelle, est-elle beaucoup plus tueuse que celle qui est sortie des usines à viande porcine mexicaines? Peu importe. On vaccine bien pour l'une, et depuis longtemps. On vaccinera aussi pour l'autre, en distribuant, en plus, l'angoisse.
Y a-t-il, sur Terre, actuellement, des maladies beaucoup plus redoutables, à commencer par le paludisme, qui exigeraient des recherches coûteuses et urgentes, pour tenter de sauver des centaines de milliers de vies humaines? Oui, certes, mais on préfère engloutir des crédits immenses pour faire face à cette grippe qui tue, mais qui ne tue "que" quelques milliers de personnes, si l'on dénombre toutes les victimes, pays par pays...
Y-a-il des inconvénients graves à ajouter des adjuvants qui peuvent entrainer des réactions fâcheuses chez les vaccinés? Eh bien, il y aura des vaccins sans adjuvants pour les femmes enceintes. En outre, la preuve du lien entre les troubles et les vaccins ne pouvant, en si peu de temps, être scientifiquement établie, on n'appliquera le principe de précaution que dans un seul sens : il y aurait, parait-il, plus de risques à ne pas vacciner qu'à vacciner.
Y a-t-il eu des "réactions allergiques graves" au Canada, liées à l'administration du vaccin? C'est la faute d'un lot anglais qui n'est pas utilisé en France, allègue Roselyne Bachelot, la ministre de la santé, ci-devant pharmacienne. Depuis des siècles qu'on nous explique qu'il faut se méfier des Anglais, on va bien finir par le croire...
Exemple sans pareil : une fillette, décédée à Nice, dit-on, "de la grippe A", était atteinte par "un asthme modéré" qui ne "saurait expliquer la cause du décès". S'il est inexpliqué, le décès n'est pas davantage lié à la grippe A, mais peu importe, Europe 1 et Nice-Matin omettent de souligner que l'enfant avait déjà été "hospitalisée, l'an passé, pour insuffisance respiratoire à la suite d'une grippe banale"... Je me rappellerai longtemps de ce 26 novembre où, à partir d'un seul cas, on a voulu démontrer "l'impérieuse nécessité de se faire vacciner" (sic), alors que ce même exemple pouvait prouver que, sous l'effet d'une grippe, A ou banale, et même sans grippe, on pouvait mourir d'une insuffisance respiratoire causée par l'asthme. Sans doute l'avions-nous oublié?
Diafoirus a gardé le pouvoir.
Les médecins généralistes protestent : seuls sont payés les médecins vaccinateurs, mais l'on ne vaccine pas dans les cabinets, seulement dans les centres spécialisés. Il y a du manque à gagner pour la profession. Et puis si tous les généralistes étaient associés à la campagne, on vaccinerait beaucoup plus. Le docteur Knock est scandalisé : il perd, ainsi, et la confiance et l'argent de sa clientèle... Que des médecins moins "intéressés" doutent, en général, de l'efficacité des vaccinations ou surtout de l'innocuité de cette vaccination-là : cela n'est que très rarement constaté par les médias.
Le Docteur Knock vous assure que vous serez bientôt malade
Ou bien nous voici au cœur d'une entreprise gigantesque de bourrage de crâne à intérêt mercantile, utile à la domestication des peuples par la peur (au moment où une mutation de société peut engendrer une panique planétaire), ou bien l'on ne sait pas comment prévenir un danger réel pour la santé humaine, dont tout ne nous est pas dit, et l'on ouvre le parapluie de la vaccination, "au cas où", pour rassurer et faire croire qu'on avait tout fait pour éviter ce qui, de toute façon, va se produire... Dans les deux cas, on on aura menti. Et un jour viendra où surgira un scandale monstrueux, à côté duquel celui du sang contaminé ou de la vache folle, n'auront rien été. La faculté, le Gouvernement, les médias et les chercheurs scientifiques tout en faisant semblant de parler d'autorité, marchent à tâtons. Comment les simples citoyens pourraient-ils s'y retrouver?
Pour en savoir plus : admi.net/cgi-bin/wiki?GrippeAviaire
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Le 3 octobre 2013.
Et maintenant, exprimez-vous, si vous le voulez.
Jean-Pierre Dacheux